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lundi 16 avril 2018

Une bonne santé pour les femmes inuites signifie la lutte contre la pauvreté et l'insécurité financière

Peut-être que les gens du Nord n'ont pas toujours été écoutés comme ils le devraient parce qu'ils ne parlent pas comme nous et qu'ils n'agissent pas comme nous quand ils sont poussés contre un mur, ce qui résulte au fait qu’ils ne sont pas entendus.

Ils sont si loin et il y a peu d'information qui chemine vers le sud à leur sujet. Le sort des gens du Nord est facile à ignorer parce que nous ne les voyons pas et, comme quelqu'un l'a souligné, l’information qui nous parvint est faussée par des enjeux politiques et des angles journalistiques pour une mise en scène d'éclat.



À ce rythme, l'écoute venant de quelqu'un qui prétend contribuer comme citoyen du monde (une expérience directe vécue à Maple Creek, Sask) en donnant aux réfugiés et aux peuples d’ailleurs, les Inuits seront toujours à corriger leur situation lorsque viendra le siècle prochain. Personne ne nie que les peuples réfugiés ont besoin d’aide, mais n'avons-nous pas un devoir de prendre soin de nos Canadiens aussi?

Il doit bien y avoir des chiffres sur les coûts des services de santé, compte tenu des problèmes sociaux, des problèmes de logement et du taux de chômage des Inuits, et la façon dont ces situations affectent la santé physique et mentale des femmes et des enfants. Ça ne bouge pas vite au Nord pour donner des services. En 2018, seulement 140 nouveaux logements seront construits pour les 14 communautés du Nunavik.

Montrez-moi une femme qui peut rester en bonne santé quand 4 générations vivent sous le même toit. Montrez-moi un enfant qui peut réussir à l'école quand il n'a pas un pouce carré dans son lieu de résidence. Montrez-moi un homme qui est stable et fort quand il n'a pas assez d'argent pour acheter un bateau pour aller pêcher ou un VTT (véhicule tout-terrain) pour chasser des aliments de subsistance.

La santé et le bien-être des enfants sont associés à la qualité et au logement abordable. En outre, la recherche montre un lien entre les problèmes de développement de l'enfant, les faibles niveaux de sécurité et d'autres facteurs de risque associés au logement.

Peut-être que ça n’apparaît pas encore dans les statistiques car peu de ressources compilent les données. Il y a un manque d'expérience clinique des Inuits pour le traitement là-bas, mais finalement, leurs jeunes grandissent et quand ils ne sont pas enclins à se suicider, ils viennent à Montréal, Ottawa, Toronto et Edmonton et comme j'ai souvent entendu parler, notre dollars-santé est mis à disposition pour résoudre leurs problèmes. Malheureusement, quand ils rentrent à la maison sans soutien et sans organisation pour un suivi efficace, le cycle est souvent répété.

À mon avis, nous échouons de plus en plus dans nos devoirs envers ces Canadiens et nous continuons d'injecter de l'argent pour aider les pays pauvres alors que nos propres enfants Canadiens luttent pour que leurs droits humains soient respectés.

Les résultats de vie des enfants inuits diffèrent de ceux des autres enfants canadiens. Nous encourageons l'éducation, mais il n'y a pas de place dans leur foyer pour étudier.

Régulièrement, quelqu'un arrive et fait des déclarations au sujet des maladies infectieuses, aux expositions environnementales, à la nutrition, aux résultats de naissance, aux dommages causés par le tabac et les maladies chroniques, les soins de santé, les politiques et les ressources humaines. Mais jusqu'ici, personne n'a corrigé ces déterminants sociaux de la santé mentale et du bien-être. En 2012, on a constaté que 68% des enfants inuits âgés de 6 à 14 ans avaient faim, 57% d'entre eux ayant déclaré avoir faim tous les quelques mois ou plus.

Où ils vivent et comment ils vivent n’expliquent en rien leur contexte de vie et les conditions de vie de la plupart des Inuits. Cela ne donne pas une chance d'absorber pleinement la question de savoir comment le logement et son surpeuplement affectent la vie des mères et la parentalité que les enfants obtiennent. Les femmes et les enfants sont plus exposés à la violence, à l'insécurité économique et aux effets négatifs du surpeuplement. Un triple désavantage, à cause de leur sexe, de leur localisation et des interactions entre les deux. Ajoutez à cela des barrières supplémentaires de racisme, de pauvreté ou de manque d'éducation, les effets négatifs sur leur santé se multiplient. Leur traumatisme de plus comprend notre indifférence.

Les femmes parlent des coûts financiers, émotionnels et sociaux du besoin fréquent de voyager loin de leur domicile pour échapper à la violence et à ses conséquences. Voyager pour échapper à la violence est également lié aux niveaux élevés de stress associés à l'éloignement de la famille, surtout des enfants, en particulier pendant une crise. Ces coûts et inconvénients multiples, largement supportés par les femmes qui maintiennent et surveillent le climat familial et émotionnel de la famille, sont des défis de taille.

Une bonne santé pour les femmes inuites signifie la lutte contre la pauvreté et l'insécurité financière. Le chômage, les bas salaires et le travail saisonnier ont un impact sur leur santé. Les femmes inuites et leurs familles ne peuvent pas maintenir leur santé en l'absence de sécurité financière. Les expériences de vie saine des femmes vont bien au-delà des visites aux fournisseurs de soins de santé. Accablés par la pauvreté, l'insécurité alimentaire et la violence familiale en raison du surpeuplement, les femmes et les enfants inuits sont particulièrement désavantagés.

Les politiques sociales en dehors du circuit de la santé influencent la finance, le travail, les services sociaux et ont autant d'influence sur la santé que la provision des services. Ces femmes sont largement ignorées et traitées comme si elles étaient invisibles. Quand le gouvernement prend de Jane pour donner à Peter (exemple : maintenant, il y a seulement 3 centres d’hébergement alors qu'il y en avait 5), la perspective de la vie et des préoccupations de ces femmes disparaît principalement dans le processus décisionnel politique.

Leurs voix sont rarement entendues. Si elles étaient écoutées, elles pourraient donner des solutions perspicaces à leurs situations de crise. Je pense que c'est une étape essentielle. Parce que ces femmes sont sous-représentées parmi les politiciens élus et d'autres décideurs, leur valeur politique est ignorée et leur destin est scellé.

1 commentaire:

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