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Supports dans les communautés

Le projet Aucun enfant ne devrait faire un détour pour retourner chez lui a trait à la réconciliation en ce sens qu'il encourage le changement social. Il est important que nous, Canadiens, participions à un dialogue constructif qui nous amènera à la reconnaissance et à la réconciliation avec tous les autres.

Comme nous pouvons apprendre l'un de l'autre, mon parcours de 8000 kilomètres est une activité qui incarne ce qui est le travail de réconciliation.

Afin d'établir un dialogue, le projet s'appuie sur un large éventail de déterminants socioéconomiques: autant que possible, je veux regarder l'éducation, le chômage ou les conditions de travail, le logement, le soutien communautaire et social, l'accès à la justice, les influences de la petite enfance, la vie saine, et l'exclusion sociale. Mais pour ce faire, il est nécessaire d'obtenir toutes sortes de soutien social.

Je définis le soutien social comme « un échange de ressources » entre deux individus destinés à améliorer le bien-être du bénéficiaire. Les coûts et avantages des échanges entre les deux participants sont liés aux ressources de l'un ou l'autre. Différents facteurs peuvent influencer les effets de soutien et suggèrent une large gamme de résultats, autant pour le donateur que pour le bénéficiaire




Le projet Aucun enfant ne devrait faire un détour pour retourner chez lui a reçu cinq types de soutien social: ces différentes sources de soutien social fournissent un soutien émotionnel. Référé comme « soutien de l'estime », ce type de soutien émotionnel permet à l'individu de savoir qu'il est apprécié.

1- Le soutien émotionnel offre chaleur humaine et soins ponctuels. Quiconque a entendu mon discours passionné sur les réalités inuites et ce que font les femmes inuites (Saturviit) pour redresser leur situation a offert de l'empathie, de la confiance, de l'acceptation, des encouragements et beaucoup de compassion.

2- Le soutien social rend disponible une assistance, et parfois, assure une mesure dans laquelle une personne est intégrée dans un réseau social. Ces ressources de soutien peuvent être émotionnelles (l'aide, le soutien), tangibles (hébergement, aide financière, conduite de la voiture pour assurer la sécurité), informationnelles (conseils, marketing, feedback, coaching) ou de la compagnie (sentiment d'appartenance) et intangibles (conseils personnels).

Le soutien de la société est le type de soutien social qui donne à quelqu'un un sentiment d'appartenance. Cela peut être considéré comme la présence de compagnons pour s'engager dans des activités sociales partagées. Ce type de soutien peut provenir de nombreuses sources, telles que la famille, les amis, les étrangers, les voisins, les collègues, les organisations telles que les églises, les centres d'amitié, les clubs de randonnée, les clubs de musique, les clubs sociaux, etc.

3- Le soutien tangible est la fourniture d'une aide financière, de biens matériels tels que l'hébergement, la nourriture, l'essence, les compétences ou les services. L'appui instrumental est une forme de soutien social donnée de façon concrète et directe.

4- Le soutien à l'information est l'offre de conseils, d'orientations, de suggestions ou d'informations utiles. Ce type d'information peut aider à résoudre des problèmes.

5- Le soutien fonctionnel se réfère à la mesure dans laquelle un bénéficiaire est connecté à un réseau social, comme le nombre de liens sociaux ou la façon dont une personne est intégrée dans des réseaux sociaux. Les Inuits sur ma page Facebook, les relations familiales, les amis et l'appartenance à des clubs et organisations contribuent tous à mon intégration sociale.

Pour reprendre, je dirais que les dimensions différentes du support social offrent des variables contextuelles lesquelles peuvent influencer leur qualité et leur efficacité. Par exemple, les maires qui n'ont pas de population autochtone dans leur bassin de population ne peuvent pas et ne voudront pas étendre le même degré d'acceptation que les maires qui doivent apprendre à travailler avec et pour cette population.

Le point de départ de mon projet est d'obtenir le support de plusieurs communautés. À cet effet, j'ai d'abord rencontré les maires de plusieurs villes importantes dans les provinces suivantes: l'Ontario, le Québec et le Nouveau-Brunswick. L'information sur le projet Aucun enfant ne devrait faire un détour pour retourner chez lui vise en premier lieu la sensibilisation des Canadiens à la réalité des femmes et des enfants dans les communautés autochtones et Inuit, et en deuxième lieu, de ramasser des fonds pour une maison-refuge afin que les enfants puissent demeurer dans leur communauté tout en étant protégés au lieu d'en être retirés et envoyés partout sur ou hors de leur territoire.

Aucun enfant ne devrait faire un détour pour retourner chez lui 

Ce projet est une initiative d'engagement pour aider les enfants à recevoir des soins affectueux, un environnement protecteur et stable pour répondre à leurs besoins fondamentaux dans une maison-refuge/maison-de-répit assurant leur sécurité dans leur propre communauté.

La principale raison d'examiner cette cause est de mettre en œuvre des solutions et des projets qui auront un impact à long terme sur les communautés. Les enfants, les mères, et les communautés sont l'objet de ce projet Aucun enfant ne devrait faire un détour pour retourner chez lui. Après tout, chaque enfant naît avec le droit d'avoir une vie sans violence et sans abus.


ACTIVITÉS

2017

Le 4 janvier, 2017, je fais une entrevue à la villa Pierrot avec sa directrice, Lise Cadieux.

Le 13 janvier, 2017- J'envoie mes rapports au Ministère des affaires autochtones et du développement du nord et à Saturviit.

Le 3 février, 2017- Je participe la la réunion organisée pour les femmes Inuit par Pauktiitut Inuit Women du Canada.

Le 24 février, 2017- Je fais une visite informelle familiale pour parler de mon projet Aucun enfant ne devrait faire un détour pour retourner chez lui.

Le 8 mars, 2017- Je participe aux activités à la Journée internationale du Centre des femmes de Saint-Laurent.

Le 16 avril, 2017 - Présentation de mon projet de marche de 8000 kilomètres à des individus de Dodge Cove, en Colombie-Britannique, lors d'un pique-nique communautaire.

Le 18 avril, 2017-  Entrevue sur le sujet des réalités inuites avec Carolina De Ryk, Prince Rupert, Colombie-Britannique.

Le 26 avril, 2017- Courte présentation sur mon activité sur la page Web de la bibliothèque de Stony Plain.

Le 26 avril, 2017- Présentation à un public spontané a la bibliothèque de Stony Plain

Le 26 avril, 2017- Rencontre de Deborah K., une résidente de Spruce Grove qui m'offre un accueil chaleureux chez elle.

Le 29 avril, 2017 - Échange sur des solutions offertes aux Inuits des Territoires du Nord-Ouest avec une membre du personnel de l'organisme « I have a chance » de Spruce Grove.

Le  2 mai, 2017 - Départ pour Edmonton avec un nouveau chauffeur, je marche sur la 2A en direction de Ponoka.

Le 6 mai, 2017 Échange sur des solutions offertes aux hommes avec Gordon Liddie, de l'Église  chrétienne évangélique baptiste de Ponoka.

Le 10 mai, 2017- Rencontre avec Nadette Agecoutay au Centre d'amitié autochtone de Red Deer et signatures de la pétition. Compte rendu d'une information selon laquelle les conseillers municipaux de Red Deer et les Premières Nations devraient signer un protocole pour déterminer comment travailler ensemble le Jour de la Fête des Autochtones le 21 juin, 2017 à Red Deer. C'est un pas dans la direction de la réconciliation.

Le 13 mai, 2017 - Retour en voiture à Canmore afin que Grant et Candace puissent me suivre dans tout le reste de l'Alberta.

Le 19 mai, 2017- Entretien avec un journaliste local M. Parker au Brooks Museum.

Le 21 mai, 2017- Rencontre de Misty Dawn Merrier à Canmore pour parler des problèmes de genre chez différentes Premières Nations, dont celles desWoodland Cree et celles des Blackfoot.

Le 23 mai, 2017- Conversation téléphonique avec la mairesse Tara Veer de Red Deer pour la féliciter pour les efforts de réconciliation qui auront lieu le 21 juin 2017.

Le 26 mai, 2017- Rencontre de Barry B. et Monika G. pour un séjour prolongé à Medicine Hat. L'invitation de Barry m'a donné l'occasion de réviser ma stratégie de marketing. Les talents de Monika sont mis à l'épreuve. Elle me promène partout dans la ville, me fait rencontrer plusieurs personnes.

Le 27 mai, 2017 - Grâce à Monika G., conférence au Club des femmes Franco-Albertaines en avant-midi.

Le 27 mai, 2017 - Présentation de mon projet lors d'une assemblée féminine pour l'élaboration de plats cuisinés en après-midi.

Le 29 mai, 2017- Rencontre avec le conseiller municipal Leslie Pearson à la Mairie de Medicine Hat pour parler de réconciliation.

Le 8 juin, 2017- Présentation lors d'une réunion familiale, les Campbells, pour parler des réalités inuites. Longue promenade avec 4 membres de la famille pour célébrer mon projet. Aucun enfant devrait faire un détour pour retourner chez lui.

Le 9 juin, 2017 - Présentation à un groupe de bénévoles des Prairie Gleaners de Medicine Hat.

Le 10 juin, 2017 - Grâce à Jeannette Hansen et à son personnel au Centre d'amitié de Miywasin, j'ai l'opportunité de faire une présentation à de nombreuses personnes lors d'un événement musical autochtone qui se déroule à Eagle's Nest Ranch, Medicine Hat (The Hills are Alive). J'inviteles gens à signer la pétition adressée au Premier Ministre Justin Trudeau.

Le 12 juin, 2017 - Présentation à un public spontané à la Swift Current Library - 7 femmes sont présentes.

Le 14 juin, 2017 - Présentation dans un cadre familial chez les Caramane à Shawnavon, en Saskatchewan.

Le 16 juin, 2017- Entretien avec Mme Betty MacDougall sur le sujet de la Maison Dorie pour les jeunes de la rue à risque à Swift Current, Saskatchewan.

Le 21 juin, 2017 - Conférence à la fête de l'Assemblée des Premières Nations pour inviter les gens à signer la pétition adressée au Premier Ministre Justin Trudeau, à Moose Jaw, Saskatchewan.

Le 9 juillet,  2017 - Dans le cadre d'une collecte de fonds pour la Villa Pierrot à Magog, j'ai participé avec d'autres bénévoles et participant(e)s à une activité de navigation de 3h sur le majestueux lac Memphrémagog de la plage de Lestage.


2016

Le 5 janvier 2016, nous planifions un déplacement important pour le projet Aucun enfant ne devrait avoir à faire un détour pour retourner chez lui.

Le 9 janvier 2016, souper-conférence sur la Rue Primeau à Châteauguay. Discussion animée sur le sort des enfants vulnérables.

En février 2016, une action pour évaluer les besoins d'une population du Nunavik et de leurs ressources existantes se met en marche. Le financement est un des aspects important pour que cela se produise.

En mars 2016, participation comme conférencière au Centre des femmes de Saint-Laurent qui ont engagé ma participation aux activités de la Journée de femmes le 8 mars 2016. Un Manifeste fut lu à différents politiciens que nous avons visité.

Une reencontre avec directrice Marissa Kokkoros de Aura Freedom International à Toronto pour assurer sa participation à A Life of Dignity for Inuit Women and Children.


Le 1er avril, une conférence au Café Rico à Montréal juste avant mon départ pour l'Ouest. Arrivée à Prince Rupert le 9 avril pour visiter le Friendship Center.

À la mi-avril, je visite Fort Fraser, Vanderhoof et Prince George pour faire signer la pétition.

Le 22 avril, je laisse la pétition au Denisiqi Services Society de Williams Lake pour la faire signer par ses membres. J'ai l'opportunité la journaliste Monica Lamb-Yorski du Williams Lake Tribune.

Je me rends à Squamish et Lilloett. À Squamish, je constate la pauvreté des communautés autochtones, je vois le manque de logements adéquats. À Lilloett, j'entends parler d'une économie différente et des coopératives, des marchés locaux.

Le 29 avril, aprés avoir participé à la rencontre citoyenne avec la mairesse Lisa Helps, je rencontre des amis de Courtenay qui officialise le début de ma marche de Victoria sur l'Île de Vancouver.

Le 7 mai. je me dirige vers Chemainus pour rencontrer une amie et pour offrir une conférence au Seaside Yoga Center.

Le 10 mai, je rencontre Denis R. Ranger de Nature Watch Studio. Il offre ses services pour faire un documentaire sur la marche de 8000 kilomètres.

Pendant le mois de juin, je participe à différentes rencontres informelles. Un pique-nique, la rencontre annuelle de Cowichan Women Against Violence qui offre ses services aux femmes depuis 35 ans. Grâce à Jane Sterk, je fais 3 jours de bénévolat à Cowichan Women Against Violence.

Grâce à mon amie, Mary Beth, je rencontre Angie Underwood of the Cowichan tribes, je suis invitée à partager un repas à Ts'i'ts'uwatul' Lelum Elders House sur la réserve. Je parle des enjeux des femmes Inuit et des raisons pour mon projet de marche de 8000 kilomètres.

Je rencontre Georgia Collins du NDP (angle environmental).

Le 25 juin, je participe à un forum sur le racisme-The Indigenous Women's forum à Duncan, CB juste avant de quitter l'île de Vancouver.

Le 28 juin, je me retrouve à Canmore avec de nouveaux amis-Grant and Candace. Ils m'accompagneront en caravane dès mon arrivée en Alberta.

le 21 juillet, j'ai une rencontre téléphonique avec l'évêque anglican Logan McManamie sur le sort des femmes Inuit au Nunavik.

Le 3 août, une entrevue avec Marie Villeneuve-Phare Ouest sur le sujet de 8000 kilomètres.

Le 3 août, je rencontre Kystie Singh de SOS CHILDREN'S VILLAGE ià  Surrey.

Le 4 août, je rencontre Linda Day de Aboriginal Women Center Society.

Le 6 août, je rencontre Mrs Susan Tatoosh de Vancouver Friendship Society. Elle contribue à mon projet de manière significative.

Le 8 août, je rencontre Andrea Reimer à l'hôtel de ville de Vancouver. Elle est responsable deu volet Réconciliation avec les autochtones.

Le 10 août, rencontre avec Melanie Mark-MLA de la CB, premiêre femme autochtone à l'Assemblée Nationale.

Le 10 août, rencontre avec Mark Gifford de Foundation Vancouver (Fostering Change: Shared Leadership Required For Youth From Foster Care).

le 15 août, rencontre avec la mairesse Sharon Gaetz de Chilliwack.

Le 8 septembre, je rencontre le maire Henry Braun de Abbottsford.

le 26 septembre, rencontre avec la mairesse remplaçante Tina Lange of Kamloops.

Le 4 octobre, je participe aux activités de Amnisty Int'l activites à Ottawa.

Le 14 octobre, je tente de visiter mon député à Magog.

Le 17 Octobre, je visite Brampton.

Le 11 novembre, je rencontre Annie Baron de Saturviit Inuit Women Association à Quebec.

Le 17 novembre, une entrevue est cédulée avec Jean-François Gagnon pour le suivi de ma marche.

Le 7 décembre, l'article de Jean-François Gagnon est publié dans La Tribune.

2015
Suite à la conférence donnée à Amnistie Internationale, le groupe 102 permet que je les nomme comme appui.

La directrice de la Villa Pierrot, Lise Cadieux, donne son aval personnel pour m'aider à faire ma demande pour la fondation Lorraine Loranger.

Une visite à la mairesse Vicki May Hamm de Magog m'ouvre des portes sur la Fédération québécoise des municipalités.

La municipalité de North Hatley et de Ste Catherine de Hatley, ainsi que leurs maires, Jacques Demers et Michael Page (6 juillet 2015-08-06-Résolution no. 2015-07-104) me prête une salle sur demande pour conférences et exposition.

Un groupe de femmes, invité par Sylvie Plamondon, m'accueille au CSSS de Valcourt pour la livraison de mon témoignage en lien avec mon expérience dans le Grand-Nord. Un corpuscule du même groupe tricotera pour mon projet, mitaines et foulard pour une levée de fonds.

Je suis reçue dans une maison privée à Orford, Québec pour livrer un témoignage sur mon expérience du grand Nord.

Le maire d’Elliot Lake en Ontario, Dan Marchisella, m’accueille chaleureusement à la mairie le 29 juillet 2015 et fera la promotion de ma marche sur le site Facebook de la mairie.

Le 29 juillet 2015, en après-midi, le maire de Sudbury, Brian Bigger, me permet de rencontrer toute son équipe de collaborateurs avec mon agente des médias sociaux, Barbara Lavoie. Nous avons la chance de visiter sa ville avec Tourisme Sudbury lors du et il démontre une grande ouverture aux réalités autochtones.

Le maire de North Bay, Al MacDonald, m'offre un rendez-vous en août 2015.

Le maire d’Ottawa, Jim Watson,  m'offre un rendez-vous en août 2015 m'informant par ailleurs que 3300 Inuits habitent Ottawa.

Mon club de lecture en la personne de Véronique Richer est informée de mon projet de marche de 8000 kilomètres.

Mes amies proches me suivent sur mon blog. Elles reconnaissent que, derrière les statistiques, il y a des gens.

Le 28 septembre 2015, le maire d'Earlton, Robert Éthier, m'invite son domicile  pour que je lui parle de mon projet. Il partage des informations sur des initiatives reliant le Québec à l'Ontario pour des projets visant à aider les autochtones de l'Abitibi-Témiskamingue.

Le 16 octobre 2015, le maire de Rivière-du-Loup, Gaëtan Gamache, me reçoit dans ses bureaux et partage des informations relatives à ses connaissances sur la réalité des gens du Grand-Nord.

Le 20 octobre 2015, le député d'Orford, Pierre Reid, contribue 250 enveloppes et des timbres pour mon projet.

Le 20 octobre 2015, le Centre des femmes de Magog appuie ma demande à l'effet que les membres actives du Centre me suivront via leur page Facebook. De plus, je m'entends avec la directrice Madame Pouliot pour une conférence durant la semaine sur la violence faite aux femmes en novembre 2015.

Le 30 octobre 2015, je rencontre la présidente, Caroline Hervé et une membre affiliée, Annie Baron, de l'Association des femmes inuites, Saturviit, pour leur soumettre mon projet. Elles sont fort encourageantes et me promettent des appuis.

Le 11 novembre 2015, le maire de Granby, Pascal Bonin, me promet un article dans la Voix de l'Est lors de ma traversée de sa ville.

Le 24 novembre 2015, une 3e rencontre efficace avec la mairesse de Magog est une preuve de plus de son appui sans conditions.

Le 25 novembre 2015, une deuxième présence à Amnistie International pour comprendre les enjeux de la dépénalisation du travail du sexe.

Le 30 novembre, dans le cadre des actions pour contrer la violence faite aux femmes, ma rencontre avec 10 femmes du Centre des femmes Memphrémagog m'a permis de raconter ce que j'ai vu avec mes yeux mais compris avec mon coeur. Lors de ma marche, elles pourront me suivre sur mon blog.

En décembre 2015, dans le contexte de l'oppression subie par les femmes vulnérables, j'ai rencontré la directrice de Aura Freedom International en Ontario. Son implication directe avec les femmes et les solutions pour les femmes qui luttent pour être libre de toute oppression et pour obtenir une éducation est une route à explorer pleinement. Un support financier pour une étude des besoins est à confirmer au début janvier 2016.


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